- Macrine Atieno, 30 ans, du comté de Siaya, aurait été en désaccord avec son petit ami, identifié comme Kennedy Onyango
- En raison de la différence, Atieno a tué sa fille et sa mère de 10 ans, Perez Onyango, âgée de 60 ans
- Elle aurait tenté de tuer son petit ami en le coupant avec une machette, le laissant saigner abondamment
Siaya – Le chagrin a englouti le village de Nyangera Kambajo dans le comté de Siaya après qu’une femme aurait tué sa fille et sa mère dans des circonstances peu claires.
La femme, identifiée comme Macrine Atieno, est accusée du meurtre brutal de sa fille de 10 ans et de sa mère, Perez Anyango, âgée de 60 ans, dans la nuit du mardi 7 juin.
Petit ami transporté d’urgence à l’hôpital du sous-comté de Bondo
Après avoir tué les deux, la femme de 30 ans enragée est allée de l’avant et a attaqué son petit ami Kennedy Onyango, le laissant gravement blessé, a rapporté Citizen Digital.
Après avoir commis le crime, Atieno est rentrée chez elle et se serait suicidée en s’accrochant à un arbre.
Confirmant le rapport, le chef adjoint de la sous-localisation d’Usire, Austin Bunde, a déclaré que les habitants avaient découvert le corps d’Atieno suspendu à un arbre dans sa maison paternelle.
Lorsque les voisins sont entrés dans la maison pour informer sa mère, ils ont été surpris de trouver son corps sans vie gisant dans une mare de sang aux côtés de sa petite-fille, blessée à la machette.
Le chef de la région a déclaré que le petit ami, qui vit dans le même complexe, a été retrouvé dans un état critique et a été transporté d’urgence pour un traitement.
Bunde soupçonnait qu’Atieno aurait pu être en désaccord avec son petit ami de 35 ans, contribuant à cet incident malheureux.
Les policiers de la région ont déjà lancé des enquêtes sur l’incident.
Un officier de l’AP tue sa petite amie à Kericho
Autre triste nouvelle, les habitants de Sosiot dans la circonscription de Belgut ont été choqués et chagrinés après qu’un officier de la police administrative (AP) ait abattu sa petite amie.
L’officier affecté à l’Unité de protection des infrastructures critiques (CIPU) gardait le siège du sous-comté de Belgut.
Selon des officiers de police subalternes du poste de police de Sosiot, le flic tueur a attaqué sa petite amie sur son lieu de travail, qui se trouve juste en face du siège du sous-comté, a rapporté Citizen.
Après avoir tué son amant, l’AP serait rentré chez lui, où il a retourné l’arme et s’est suicidé. On pense que l’officier et le défunt formaient un couple.
Le mobile de la fusillade n’a pas été identifié dans l’immédiat.