L’ancien maire de Tshwane, Murunwa Makwarela, a fait sa cinquième comparution devant le tribunal spécialisé des délits commerciaux de Pretoria vendredi matin, où il a déposé une demande d’assouplissement de ses conditions de mise en liberté sous caution.
L’ancien maire de Tshwane, Murunwa Makwarela, a comparu devant le tribunal spécialisé des délits commerciaux de Pretoria le 2 juin 2023. Photo : Thabiso Goba/Eyewitness News
JOHANNESBURG – L’ancien maire de Tshwane, inculpé au pénal, le Dr Murunwa Makwarela, a déclaré que ses conditions de mise en liberté sous caution lui avaient rendu difficile l’exercice de ses fonctions de pasteur.
Makwarela a fait sa cinquième comparution devant le tribunal spécialisé des délits commerciaux de Pretoria vendredi matin, où il a déposé une demande d’assouplissement de ses conditions de mise en liberté sous caution.
Le Dr Murunwa Makwarela, ancien maire de Tshwane, est de retour au tribunal spécialisé des délits commerciaux de Pretoria.
Il dépose une demande d’assouplissement de ses conditions de libération sous caution. L’État entend s’y opposer.
Makwarela est représenté par l’avocat Justice Mnisi. TCG pic.twitter.com/gGaLaqQ2mF
‘ EWN Reporter (@ewnreporter) 2 juin 2023
Il est accusé de deux chefs de fraude, l’un lié à son omission de divulguer son statut d’insolvabilité et l’autre pour avoir soumis une fausse lettre de réhabilitation au conseil.
L’avocat de Makwarela, Advocate Justice Mnisi, a déclaré que son client avait eu du mal à obtenir l’autorisation de l’enquêteur lorsqu’il avait dû se rendre à l’extérieur de Gauteng.
Dans un affidavit qui a été lu au tribunal par Mnisi, Makwarela a déclaré que le tribunal devrait prendre en considération ses droits et responsabilités en tant que pasteur et évêque ordonné.
«L’essence de cet arrangement est que depuis ma démission de la politique, je suis également activement impliqué dans les activités de l’église où je dois d’abord prier et fournir des conseils aux membres malades et troublés de l’église et deuxièmement effectuer les droits funéraires pour ceux qui ont transmis. »