Les devises ne se sont pas mieux comportées à l’heure où la Réserve fédérale a relevé ses taux directeurs à des niveaux jamais vus depuis des décennies.

Le Nigeria s’est lancé dans des démarches douloureuses – mais nécessaires – pour mettre fin au contrôle des capitaux et permettre au Naira de retrouver sa vraie valeur. Cela se reflète dans la baisse de 75 % sur le marché formel, réduisant de manière significative l’écart entre les taux là-bas et ceux du marché parallèle.

L’Égypte a dévalué sa livre sterling, mais les autorités égyptiennes ont refusé de la laisser s’affaiblir davantage, à un moment où l’inflation dépasse largement les 40 %.