Éthiopie: Le sort des Amharawomen et des filles: un appel à la justice

Maria

Déclaration de presse
Coalition mondiale d’Amhara

Les souffrances et les appels à la justice du peuple Amhara, en particulier des femmes et des filles, n’ont pas reçu suffisamment d’attention de la communauté internationale. Le régime d’Abiy Ahmed a armé le viol et l’enlèvement contre l’Amhara, soumettant les femmes et les filles de tous âges à une violence sexuelle horrible, notamment un viol de masse et de graves violences physiques. Ces crimes sont perpétrés par des forces recrutées et financées par le régime actuel, ciblant la communauté d’Amhara en fonction de leur identité.

Récemment, Birtukan Temesgen Kebede a courageusement exposé ces atrocités sur le Service de radiodiffusion éthiopienne (EBS), qui a ensuite été examiné, le personnel aurait subi des arrestations arbitraires pour avoir révélé la vérité. Birtukan’s testimony exemplifies the countless victims of sexual violence against Amhara girls and highlights a disturbing pattern that includes the reported assassinations of prominent Amhara figures, such as Engineer Simegnew Bekele Aynalem, Chief of Staff Seare Mekonnen, General Assaminew Tsige, and Governor Ambachew Mekonnen, alongside violence against ordinary Amhara civilians in the Oromia and Régions de Benishangul.

De plus, les jeunes d’Amhara sont de plus en plus ciblés et tués par les forces de sécurité, tandis que les bombardements aériens et les armes lourdes frappent régulièrement les sites civils de la région d’Amhara, y compris les lieux de culte, les ressources agricoles, les écoles et les établissements de santé. L’avenir éducatif de plus de neuf millions d’étudiants d’Amhara est en danger alors que les écoles restent fermées, tandis que des milliers de militants, de politiciens et de jeunes d’Amhara auraient été pris en charge dans des conditions difficiles.

Le régime d’Abiy Ahmed emploie des groupes militants informels pour prendre des otages de centaines d’Amharas voyageant entre Addis-Abeba et la région d’Amhara. Cette prise d’otage se produit presque chaque semaine, avec des militants exigeant des millions de birr comme rançon. Ceux qui ne peuvent pas payer la rançon sont confrontés à une torture brutale ou à l’exécution. De tels incidents ont persisté pendant des années dans la région d’Oromia, en particulier dans la région connue sous le nom d’Alidoro, à environ 100 miles d’Addis-Abeba.

De plus, le régime a démantelé des milliers de maisons appartenant à Amharas et aux Ethiopiens non oromo, déplaçant des millions. Le profilage ethnique a conduit au rejet des fonctionnaires d’Amhara de leurs postes gouvernementaux. Depuis qu’Abiy Ahmed a pris le pouvoir il y a sept ans, le peuple Amhara a enduré d’immenses souffrances.

Face à une menace existentielle du régime, la résistance armée dans la région d’Amhara s’est intensifiée, visant à libérer le peuple Amhara et d’autres communautés touchées. La communauté d’Amhara a été confrontée à des difficultés importantes sous des administrations successives, notamment le cas tragique de 17 étudiantes de l’Université Dembi Dollo qui ont été enlevées il y a cinq ans et ne sont jamais rentrées chez elles, sans enquête sur leur disparition.

Nous honorons les milliers de personnes d’Amhara, y compris les femmes et les filles, qui ont enduré la brutalité du régime, la prise d’otages, le déplacement ciblé, les arrestations de masse et les licenciements d’emploi systématiques. Ce ne sont pas des incidents isolés mais des violations systémiques qui affectent profondément la communauté d’Amhara. Malgré ces énormes défis, la résilience du peuple Amhara reste ininterrompue.

La Global Amhara Coalition exhorte la communauté internationale à:

  1. Condamner le régime d’Abiy Ahmed et assurer la responsabilité de tous les crimes commis contre le peuple Amhara.
  2. Reconnaître et répondre aux violations des droits de l’homme survenant contre le peuple Amhara.
  3. Faciliter la libération inconditionnelle de tous les prisonniers politiques d’Amhara sans délai.
  4. Assurer la protection des populations vulnérables, en particulier les femmes et les filles.
  5. Sécuriser le rendement sûr de tous les otages d’Amhara pris par des groupes militants associés au régime Abiy Ahmed.
  6. Restaurez les services essentiels dans la région d’Amhara, y compris l’éducation et les soins de santé.
  7. Étudiez la démolition massive des propriétés d’Amhara à Addis-Abeba et leur déplacement systématique.
  8. Examinez le profilage ethnique et le licenciement en masse d’Amharas des postes gouvernementaux.
  9. Enquêter sur le réseau de prise d’otages exploité par le régime d’Abiy Ahmed et traduire les parties responsables en justice.
  10. Enquêter sur les actions du régime concernant les changements démographiques systématiques dans Addis-Abeba, Nazareth, Debre Zeit et d’autres grandes villes.

L’esprit du peuple Amhara reste ininterrompu à travers l’adversité, transformant le chagrin en détermination pour la justice. Nous honorons ceux qui sont tombés et continuons de plaider pour un avenir où être Amhara n’est pas une cause de persécution.

Justice pour Birtukan Temesgen et toutes les victimes de viol systématique, de prise d’otage, de déplacement et d’arrestation en masse! Honneur à ceux qui ont perdu la vie à lutter pour la liberté et les droits du peuple Amhara!

Le peuple Amhara durera et prévaudra par la justice et la responsabilité!

__

Pour soumettre Communiqué de presseEnvoyer une soumission à info@Togolais.info