Sécurité maximale déployée alors que Geza appelle à «indéfini» rester à l’écart

Maria

Maximum security deployed as Geza calls for “indefinite” stay away

La police de la République du Zimbabwe (ZRP) a annoncé des déploiements massifs d’officiers pour s’assurer que «le public est libre de s’engager dans toutes les activités socio-économiques».

Les déploiements sont en réponse à l’appel de Geza, le vétéran de la guerre, un séjour «indéfini» à l’échelle nationale.

Geza, qui se cache, dans une adresse en ligne, a annoncé la semaine dernière un séjour à l’extérieur des 22 et 23 avril. Cependant, dans sa dernière mise à jour, il l’a étendu indéfiniment dans le but de forcer le président Emmerson Mnangagwa à démissionner.

Dans un communiqué, le commissaire du ZRP, Paul Nyathi, a déclaré: «La police de la République du Zimbabwe est prête à s’assurer que le public est libre de s’engager dans toutes les activités socio-économiques sans crainte, intimidation, menaces ou harcèlement les 22 et 23 avril 2025.

«La police de la République du Zimbabwe a déployé suffisamment d’officiers à travers le pays pour maintenir efficacement l’ordre public, notamment dans les quartiers commerciaux centraux, les zones résidentielles, les zones industrielles et toutes les zones fréquentées par le public.

«À cet égard, la police arrêtera toute personne qui interfère avec le flux de trafic et le mouvement du public.»

Geza, un membre expulsé du comité central de Zanu PF, a été vocal pour s’opposer à la règle de Mnangagwa et a appelé à des manifestations via ses chaînes X et YouTube.

La police a mis en garde contre l’abus des médias sociaux, exhortant le public à «ignorer totalement les publications sur les réseaux sociaux destinées à provoquer le chaos et l’alarme dans le pays».

Nyathi a en outre assuré la sécurité des exposants locaux et étrangers au 65ème Édition du salon international du Zimbabwe (ZITF), qui a débuté dimanche à Bulawayo.

«La police de la République du Zimbabwe réitère qu’elle est prête à mener son mandat constitutionnel sans crainte ni faveur. Tout instigateur de violence ou de perturbation du fonctionnement normal de l’économie sera gravement traité.

« Le public devrait se sentir libre de signaler quiconque incitant à la violence, en émettant des menaces ou en les intimidant pour s’engager dans des actes illégaux », a-t-il ajouté.