Les informations recueillies indiquent que le service de police du Ghana a employé un photographe civil pour prendre en charge la section de dédouanement du service où la vérification des antécédents criminels de la personne qui souhaite être employée dans une organisation ou des personnes voyageant à l’extérieur du pays qui ont besoin d’une autorisation de police.
Ce document a recueilli qu’avant cet arrangement, la section de dédouanement se trouvait au siège du CID du service de police du Ghana.
Cependant, lors de la prise de fonction du nouveau CID Boss, elle a déplacé cette section dans les locaux du Bureau des normes professionnelles intelligentes de la police à Nima.
La section des autorisations de police effectue la vérification des antécédents criminels pour les demandeurs de visa et à des fins d’immigration pour les non-résidents. Il s’agit d’une vérification des antécédents pour les candidats à un emploi et elle est effectuée au siège du CID pour vérifier si un document délivré est authentique.
Il a également été établi que la section des autorisations de police était gérée par un photographe professionnel recruté dans le service de police du Ghana.
La remise de la section à un photographe civil est condamnée par certains policiers qui y voient une action nuisible à la conduite efficace des services de police, pouvant compromettre la sécurité de l’État.
S’adressant à certains officiers, ils pensent que le développement est une conspiration à grande échelle contre la stabilité du pays, et que c’est une mauvaise indication que le service de police du Ghana confie la section de dédouanement à un photographe civil.
« Le plan manquait de mécanismes de sauvegarde et de conformité », a déclaré un officier sous anonymat.
Ils ont également affirmé que la patronne du CID a réussi cet objectif en semant le chaos et l’instabilité dans le pays car son action est vaincue car elle a affaibli la force du service de police, l’intégrité et la crédibilité de la profession.
«Ce qui se passe aujourd’hui ne vient pas du respect des règles et règlements de la police pour avoir engagé le photographe civil pour vérifier les antécédents criminels des personnes. C’est faux. Les services de police ne fonctionnent plus comme on s’y attend. Nous exhortons d’ailleurs le service de police du Ghana, l’IGP, à restreindre cette action et à restaurer les sections dans son unité d’origine », ont fait appel les officiers lésés.
Pendant ce temps, le service de police du Ghana a décentralisé les services d’enquête criminelle à travers le pays.
Le service était auparavant disponible exclusivement au siège du CID à Accra, mais les personnes qui demandent une autorisation pénale peuvent désormais le faire dans l’une des 25 régions de police du pays.
Chef CID