Ramokgopa félicite Eskom pour avoir évité le délestage de l’étape 8

Maria

L'Afrique du Sud a franchi un cap dans la crise de l'électricité, mais n'est pas encore sortie du bois

Mercredi, Ramokgopa a informé le comité des entreprises publiques pour la première fois depuis sa nomination au début de cette année, où il a fourni des commentaires sur le plan d’action énergétique et sur la manière dont ils ont réussi à éviter des étapes plus élevées de délestage au cours des derniers mois.

Ministre de l’Électricité Dr Kgosientso Ramokgopa. Photo : Twitter/Kgosientsho_R

LE CAP – Le ministre de l’électricité, Kgosientsho Ramokgopa, a félicité Eskom pour avoir réussi à éviter le « pire scénario » du délestage de la huitième étape.

Mercredi, Ramokgopa a informé le comité des entreprises publiques pour la première fois depuis sa nomination au début de cette année, où il a fourni des commentaires sur le plan d’action énergétique et sur la manière dont ils ont réussi à éviter des étapes plus élevées de délestage au cours des derniers mois.

Il a déclaré que l’équipe de production d’Eskom avait réussi à empêcher que cela ne se produise cette année, lorsque le pays a connu ses pires coupures d’électricité jamais enregistrées, avec des mois de délestage de la sixième étape.

Il a également déclaré aux députés qu’ils avaient besoin d’environ 390 milliards de rands pour investir dans les infrastructures de transport au cours des dix prochaines années.

Le ministre de l’électricité a également félicité l’équipe de production d’Eskom pour avoir géré la situation.

« Donc, dans le pire des cas, nous disons que vous pourriez même atteindre la huitième étape du délestage si nous ne résolvons pas la défaillance de ces unités. Bien sûr, nous n’avons pas atteint ces proportions. Nous n’avons pas atteint ces proportions grâce au travail de l’équipe de génération en génération. »

Ramokgopa a également déclaré au comité qu’Eskom avait besoin de 390 milliards de rands pour investir dans les infrastructures de transport au cours des dix prochaines années dans le cadre de la fin permanente des délestages.

Il a également assuré aux députés que le réseau appartenait à l’État, affirmant qu’il ne serait jamais privatisé.