On dit que si les femmes d’une nation sont fortes, elle progressera.
La santé des femmes au Ghana pose plusieurs problèmes mais, comme dans d’autres pays en développement, les efforts visant à améliorer la santé des femmes dans le pays s’intensifient et les gens réalisent à quel point cela est crucial pour les générations futures.
La société s’améliorera lorsque le secteur de la santé s’améliorera et que les citoyens et les autorités prendront des mesures concrètes pour résoudre les problèmes actuels. Nous discuterons des problèmes de santé des femmes au Ghana et de la manière dont différentes initiatives peuvent contribuer à les résoudre.
Problèmes de santé pour les femmes au Ghana
L’un des problèmes majeurs auxquels le Ghana est confronté est la malnutrition. Ce facteur n’affecte pas seulement les femmes, mais il devient certainement plus grave lorsque les femmes ne bénéficient pas d’une alimentation adéquate. Une femme mal nourrie donnera naissance à une progéniture faible, ce qui peut nuire à la capacité du pays à progresser.
Lorsqu’elles doivent faire face à des responsabilités supplémentaires dans les champs et à la maison, les femmes physiquement faibles doivent souvent renoncer à leur travail. un sommeil suffisantce qui entraîne une détérioration supplémentaire de la santé physique et du bien-être mental. Le pire, c’est que les gens au Ghana ne se rendent pas compte de la vitalité du sommeil et ses avantages en général, donc ils n’essaient même pas de le considérer comme un problème.
Les femmes en âge de procréer ont besoin d’une nutrition adéquate, mais les obstacles économiques et culturels actuels sont à l’origine de ce problème. Les pratiques traditionnelles et les restrictions alimentaires limitent souvent l’accès des femmes aux nutriments essentiels. De plus, les facteurs socio-économiques peuvent empêcher les femmes de bénéficier de soins de santé appropriés.
Un autre domaine critique pour les femmes au Ghana est celui de la santé reproductive. Le taux de mortalité maternelle au Ghana est considérablement élevé et l’accès à des soins prénatals et postnatals de qualité est limité, en particulier dans les zones rurales.
La culture ghanéenne est telle que la contraception n’est pas acceptée. Les croyances culturelles limitent l’utilisation des contraceptifs, ce qui signifie que chaque femme donne naissance à de nombreux enfants, ce qui entraîne une détérioration de la santé.
Au Ghana, les anciennes pratiques sont encore répandues et de nombreuses femmes ne bénéficient pas de soins appropriés car elles accouchent à domicile. Les hôpitaux ne sont pas développés et les équipements, les médicaments et les médecins de pointe ne sont présents que dans les grandes villes. Les femmes rurales sont confrontées à de graves problèmes prénatals et prénatals, qui peuvent être mortels.
De plus, il existe plusieurs tabous alimentaires liés à des périodes spécifiques comme la grossesse et l’allaitement qui peuvent restreindre l’apport de groupes alimentaires essentiels, entraînant des carences en fer, en folate et en d’autres micronutriments essentiels. Les facteurs socio-économiques jouent un rôle important dans la santé des femmes au Ghana.
L’accès limité à la terre et aux ressources peut entraver la capacité des femmes à cultiver des cultures diversifiées ou à acheter des aliments nutritifs pour elles-mêmes et leur famille.
Les conséquences de la malnutrition chez les femmes peuvent être graves et durables. Une mauvaise alimentation peut entraîner une anémie, augmentant ainsi le risque de complications pendant la grossesse et l’accouchement. Ce problème peut fragiliser des générations entières, car les enfants ne sont pas en bonne santé et risquent de ne pas survivre au-delà de leur jeunesse.
La malnutrition et les mauvaises conditions médicales peuvent nuire au développement du fœtus, entraînant potentiellement un faible poids à la naissance et compromettant la santé des femmes et de leur progéniture.
Construire un avenir plus sain
Il existe de nombreuses ONG internationales et des ministères gouvernementaux qui s’efforcent d’améliorer la santé des femmes au Ghana. Ces entités se concentrent sur plusieurs aspects pour améliorer la qualité de vie des femmes. Les interventions nutritionnelles telles que la promotion d’une alimentation équilibrée au sein des sociétés et l’accent mis sur les pratiques culturelles qui limitent l’accès des femmes à la nutrition sont abordées. Une femme au Ghana travaille activement et doit participer physiquement à la subsistance de sa famille.
Ces femmes ne bénéficient pas de soins de santé adéquats et souffrent souvent de carences. De plus, le nombre élevé de naissances dans chaque foyer implique que ces femmes n’ont pas le temps de se reposer, de récupérer après l’accouchement et de recevoir une alimentation adéquate pour renforcer leur corps.
Le Ghana ne dispose pas de services de planification familiale suffisants, d’accoucheuses qualifiées et d’éducation en matière de santé reproductive, ce qui contribue à de graves problèmes. Il est urgent de doter les femmes de connaissances sur leur santé et de favoriser leur autonomie globale pour qu’elles puissent faire des choix éclairés.
Progrès et voie à suivre
Depuis que l’ONS internationale et l’ONU ont commencé à travailler au Ghana, des progrès ont été accomplis. On a constaté une augmentation significative de la fréquentation des centres de soins prénatals et une baisse du taux de mortalité maternelle. Cependant, le chemin à parcourir pour progresser est encore long.
De nombreuses ONG travaillent dans le domaine de l’éducation au Ghana et enseignent aux enfants et aux adultes l’importance de la nutrition. De plus, ces ONG sensibilisent également la population aux diverses pratiques culturelles qui ne favorisent pas une bonne santé.
Par exemple, la croyance selon laquelle les femmes enceintes ne devraient pas manger de fruits ou d’aliments riches en calories n’est pas une bonne pratique pour les futures mamans. Ces ONG sensibilisent également les femmes aux questions de nutrition, de santé reproductive et de pratiques d’hygiène.
Dans de nombreuses zones rurales du Ghana, ces ONG envoient des équipes pour fournir aux communautés mal desservies des services de santé essentiels, notamment des dépistages et des orientations. Les ONG internationales s’efforcent d’autonomiser les femmes sur le plan économique en leur permettant de mieux contrôler les ressources du ménage et d’accroître leur capacité à investir dans leur santé.
Le système national d’assurance maladie offre un meilleur accès aux services de santé aux femmes et des équipes de professionnels de santé ont été déployées dans les zones rurales pour sensibiliser la population à la nécessité de contrôler la population et d’offrir aux femmes une vie meilleure. La solution à la malnutrition et à la prise en charge des pratiques culturelles est un travail constant de reconstruction de la société et d’éducation.
La collaboration entre les organismes gouvernementaux, les ONG et les mouvements de femmes est essentielle. Atteindre les populations à haut risque, en particulier dans les zones rurales, nécessite des efforts ciblés, qui deviennent désormais plus courants grâce à la collaboration du gouvernement et des ONG. L’éducation et l’autonomisation des femmes pour qu’elles participent activement à leur parcours de santé sont essentielles pour un progrès durable.
Le gouvernement fait des efforts pour éduquer les masses. Les programmes éducatifs se concentrent sur les informations relatives à une alimentation saine à différents âges pour assurer une meilleure santé à l’âge adulte. De plus, les ONG enseignent également aux enfants et aux adultes les options en matière de santé reproductive et de bien-être mental. L’éducation des filles est essentielle et des efforts sont donc faits pour leur donner les outils et la confiance nécessaires pour prendre des décisions éclairées concernant leur santé et leur avenir.
Un autre changement crucial au Ghana est la promotion de l’égalité des sexes. Ce mouvement exige l’abandon de pratiques culturelles et séculaires qui considèrent les femmes comme un sexe secondaire et les privent d’une bonne nutrition. La participation des femmes aux processus de prise de décision liés à leur santé est désormais devenue monnaie courante. Lorsque les femmes ont leur mot à dire dans l’élaboration des politiques et des programmes de santé, elles participent activement au processus de développement.
Conclusion
Les problèmes de santé des femmes au Ghana sont le résultat de la négligence des femmes, des croyances culturelles et du manque d’éducation. La malnutrition et les mauvaises conditions économiques alimentent également ces problèmes. Cependant, des efforts concrets sont déployés par le gouvernement et plusieurs ONG internationales pour éduquer et autonomiser les femmes au Ghana afin qu’elles puissent vivre une vie saine et épanouissante.
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