La protectrice du citoyen Kholeka Gcaleka affirme qu’il faut faire davantage pour garantir la protection des lanceurs d’alerte afin que les réformes anti-corruption soient significatives.
Ce sont là quelques-unes des questions clés abordées cette semaine lors du troisième et dernier groupe de travail anti-corruption du G20.
Les dirigeants mondiaux se réunissent sur les efforts anti-corruption au parc national Kruger, à Mpumalanga, avant le sommet des dirigeants de novembre.
Le gouvernement sud-africain fait partie des gouvernements sous pression pour s’inspirer de la Convention des Nations Unies contre la corruption dans la recherche de moyens d’améliorer les lois existantes afin de mieux soutenir et protéger les lanceurs d’alerte.
S’exprimant au début du groupe de travail lundi, Gcaleka a déclaré aux délégués que les lanceurs d’alerte étaient l’élément vital de la responsabilité.
« Le processus de réforme à venir est une responsabilité à la fois nationale et internationale. En répondant à l’appel du G20, l’Afrique du Sud et tous les États membres doivent honorer le courage de tous ceux qui s’expriment en fournissant une protection rapide, efficace et intégrée, en transformant les principes en réalité quotidienne et en faisant respecter l’État de droit. »





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