Mpumalanga MEC Shongwe minimise les attaques de tuck soupçonne des allégations de brutalité policière

Maria

Mpumalanga MEC Shongwe minimise les attaques de tuck soupçonne des allégations de brutalité policière

Les hommes accusés d’être à l’origine de l’incendie récent de camions ont affirmé que la police les avait agressés lors de leurs arrestations, ce que le MEC de Mpumalanga pour la sécurité communautaire a qualifié de tactique dilatoire courante.

Khulekani Shongwe, Emmanuel Mthethwa, Fundile Mpondo, Mafika Sibande et Nkosikhona Gumede ont fait leur première comparution devant le tribunal de première instance d’Ermelo à Mpumalanga le 17 juillet 2023. Photo : Katlego Jiyane/Eyewitness News

JOHANNESBURG – Le MEC de Mpumalanga pour la sécurité communautaire, Vusi Shongwe, a minimisé les accusations de brutalités policières par les hommes soupçonnés d’être derrière le récent incendie de camions.

Cinq hommes ont comparu devant le tribunal de première instance d’Ermelo pour un certain nombre d’accusations liées aux dernières attaques de camions lundi.

Par l’intermédiaire de leur représentant légal, l’avocat Siyabonga Jiyane, les hommes ont accusé la police de les avoir agressés lors de leurs arrestations, trois d’entre eux déclarant avoir besoin de soins médicaux.

Shongwe a déclaré qu’il s’agissait d’une tactique de retardement courante.

« J’ai entendu dire dans un certain nombre de cas (que) lorsque des personnes sont arrêtées, elles pointent toujours du doigt la police (et disent) que la police les a agressées.

« Ils se réservent le droit d’aller chez le médecin et le médecin prouvera que nous ne pouvons pas simplement entendre parler d’eux. Certains d’entre eux se sont peut-être blessés en brûlant ces camions, donc je ne sais pas. »