Migori : un homme accusé d’avoir dit à une représentante de se marier

Maria

Migori : un homme accusé d'avoir dit à une représentante de se marier

Un jeune homme a été accusé d’avoir envoyé des messages offensants à la représentante de Migori, Fatuma Zainabu Mohammed, lui demandant de se marier.

Qu’est-ce que l’homme de Migori a dit à la représentante ?

Vincent Otieno a comparu devant le magistrat principal de Milimani, Benmark Ekhubi, et a plaidé non coupable des accusations portées contre lui.

L’accusation a déclaré qu’à plusieurs reprises en septembre, Otieno avait envoyé un SMS obscène et insultant à la députée de Migori, dans l’intention de l’offenser et d’altérer sa réputation.

D’après l’acte d’accusation vu par Togolais.infoOtieno a ensuite publié le même message dans un groupe Facebook appelé Migori Republican Council (MRC).

Il a nié les accusations tandis que son avocat, Edday Auma, a demandé des conditions de libération sous caution plus clémentes.

« Mon client est un jeune homme qui a une famille ; il est le seul soutien de famille. Nous demandons à ce tribunal des conditions de libération sous caution plus clémentes », a-t-elle soutenu.

Il a été libéré moyennant une caution en espèces de 50 000 Ksh ou une caution de 100 000 Ksh.

2 hommes accusés d’avoir menacé de tuer Kimani Ichung’wah

Plus tôt, deux hommes se sont retrouvés en difficulté après avoir proféré des menaces contre le député kikuyu Kimani Ichung’wah et l’ancien CS du Trésor Njuguna Ndung’u.

Le premier accusé, Kelvin Wafula, a utilisé un compte WhatsApp nommé @advokezadbiadboy pour envoyer un message à CS Ndung’u, affirmant que son temps était écoulé.

Pendant ce temps, le deuxième accusé, Stephen Kamau, a menacé Ichung’wah, déclarant qu’il provoquerait un accident mortel qui entraînerait la mort d’Ichung’wah.

Les deux hommes ont également été accusés d’avoir utilisé un langage désobligeant contre Ichung’wah et Ndung’u.

Les deux hommes ont comparu devant la magistrate Rose Ndubi à Milimani et ont nié toutes les accusations portées contre eux.

L’avocat représentant Kamau et Wafula a demandé au tribunal de leur accorder une caution faible en raison de leur faible revenu.

Ndubi a accordé aux accusés une caution en espèces de 100 000 KSh chacun, soulignant leurs modestes moyens de gagner leur vie.

Relecture par Mercy Nyambura Guthua, journaliste et rédactrice en chef chez Togolais.info