Nancy Odindo, journaliste tuko.co.ke, a plus de quatre ans d’expérience couvrant la politique, les nouvelles et les informations kenyanes pour les médias numériques et imprimés.
Le gendarme de police Bernard Koome est devenu la dernière victime de la fusillade du pays alors qu’il était dans une patrouille de sécurité de routine dans la région de Cravers de Thika, Kiambu, dans un incident tragique qui a déclenché des appels publics à la justice.
Qu’est-il arrivé à PC Bernard Koome?
Selon les rapports de la police, Koome avait repéré une moto suspecte et tenté de l’intercepter.
Le cavalier, cependant, a quitté la moto et s’est enfui à pied tout en tirant sans discrimination.
Pendant l’échange, PC Koome a été abattu dans le cou et a ensuite succombé à ses blessures alors qu’il a reçu un traitement dans un hôpital de Thika.
Une recherche ultérieure sur les lieux a conduit à la récupération de deux cartouches dépensées de 9 mm et d’un magazine de pistolet CZ chargé de quatre tours de munitions.
L’incident a accru les tensions parmi les Kenyans, dont beaucoup se sont ralliés à l’appui de l’officier déchu.
Alors que les cas récents ont placé certains policiers sous contrôle public pour prétendue prétendue, PC Koome a été largement connu comme un officier dévoué et engagé qui est décédé dans l’exercice de ses fonctions tout en protégeant sa communauté.
Comment les Kenyans ont-ils réagi au meurtre de PC Bernard Koome?
@Jebetke_
« PC Bernard Koome a couru vers le danger afin que d’autres puissent se sentir en sécurité. Ce courage lui a coûté la vie. Honorons-le avec justice, pas silence. Les officiers sont aussi humains. »
@BLURY_XL
« Il est entré en danger pour que les autres puissent être en sécurité. Ce choix lui a tout coûté. Que son sacrifice soit accueilli avec la vérité, pas le silence. »
@Finestkuria
« PC Bernard était plus qu’un officier. C’était un jeune homme avec des rêves, de la famille et du devoir. Sa mort est un rappel douloureux que nos protecteurs ont également besoin de protection. »
@Yours_trulyke
« Le constable de police Bernard Koome n’était pas seulement un officier en uniforme – il était un père dévoué, un fils bien-aimé et un protecteur courageux de la communauté; sa mort tragique doit conduire à la justice et à la responsabilité. »
@Kelitu__
« PC Bernard a répondu à l’appel du devoir. Alors que le suspect s’enfuyait avec des coups de feu, Bernard a suivi courageusement et payé avec sa vie. Que son héritage ne s’est pas s’estompé. Maintenant, une mère pleure seule. Un enfant dort sans réponses. Un uniforme de mensonges.
@mistamusa_
« Une patrouille de routine s’est transformée en tragédie lorsque PC Bernard a été abattu dans l’exercice de ses fonctions tout en protégeant le public. Son sacrifice ne devrait jamais être vain. Les officiers sont humains. »
@Kerubostar
« Des officiers comme PC Bernard ont prêté serment pour servir et protéger – se plaignant souvent en danger. Lorsqu’ils sont tués, la nation doit pleurer et chercher justice tout aussi fort. »
@ Ivycherop1921
« Ses bottes mentent immobiles, son uniforme replié en silence. PC Bernard défendait la sécurité. Maintenant, nous devons le défendre. Les officiers sont humains et la justice doit être rapide et inébranlable. »

2 policiers interdits après avoir tiré sur le vendeur de rue
Pendant ce temps, deux policiers, Klinzy Barasa Masinde et Duncan Kiprono, ont été interdits après la fusillade du vendeur de masque de 22 ans, Boniface Kariuki.
Les policiers auraient approché Kariuki lors de manifestations chaotiques à Nairobi, où Masinde lui aurait abattu à bout portant.
Kariuki reste dans un état critique dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital national de Kenyatta, où il se rétablit après une intervention chirurgicale réussie pour éliminer les balles. Les enquêtes sur l’incident sont en cours.
Relecture par Mercy Nyambura, éditeur de copie à tuko.co.ke.
Source: tuko.co.ke