JOHANNESBOURG – Les habitants de Phumlamqashi, dans le sud de Joburg, ont donné sept jours au premier ministre de Gauteng pour présenter un plan de restauration de l’eau pour leur région.

Il y a quelques années, le service public a identifié Phumlamqashi comme un point chaud de connexions illégales et a lancé plusieurs opérations de déconnexion.

Malgré les reconnexions répétées des habitants, une répression massive en novembre dernier a laissé la communauté sans eau courante.

Vendredi, les habitants ont défilé jusqu’au dépôt Ennerdale de Joburg Water pour remettre un mémorandum de revendications.

Des résidents frustrés ont remis leur mémorandum à un représentant du cabinet du premier ministre.

Le document définit des délais stricts, notamment une fenêtre de 48 heures pour répondre à l’appel de la communauté.

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Les résidents ont également donné au premier ministre un délai strict de sept jours pour définir des mesures correctives à cet égard.

Le groupe mécontent a ajouté qu’un délai de cinq mois devrait suffire pour installer au moins 30 robinets collectifs.

Alors que le groupe était mécontent de l’absence du maire de Johannesburg, Dada Morero, et du premier ministre Panyaza Lesufi lors de ses manifestations, un mémorandum de revendications audacieuses a été remis au directeur adjoint de la prestation de services de Gauteng, Dan Bovu.

Bovu a assuré aux résidents que leurs préoccupations seraient prises en compte.

« Nous répondrons, et en réponse, nous nous engagerons. Le mémorandum prévoit un délai de sept jours et un délai de cinq mois, et nous agirons en conséquence. »

Alors que les habitants de Phumlamqashi attendent l’action du gouvernement, ils restent sans eau courante.