
La Pharmaceutical Society of Ghana (PSGH) a exigé la justice et une protection améliorée pour les travailleurs de la santé à la suite du meurtre du pharmacien Mohammed Zia-Ulhak Zibrim à Bolgatanga.
Zibrim, PDG de Zimax Pharmacy et du PSGH Upper East Regional General Secrétaire, a été abattu à l’extérieur de sa maison le 5 juin 2025, peu de temps après son retour de travail.
Le président du PSGH, le Dr Samuel Kow Donkoh, a condamné le meurtre comme un «acte odieux et barbare», déclarant: «Ce n’est pas seulement une perte pour sa famille – c’est une blessure profonde pour toute la profession de pharmacie et le système de santé du pays.»
La Société a noté Zibrim – respecté pour le fait de combler les divisions ethniques de Mamprusi et Kusasi – peut-être ciblée au milieu des conflits prolongés de la région, déplaçant qu’il «est peut-être devenu victime du conflit même qu’il se tenait au-dessus».
Le PSGH a appelé de toute urgence la police du Ghana et les agences de sécurité nationale pour accélérer les enquêtes et poursuivre les auteurs. Il a en outre imploré le gouvernement de renforcer la sécurité des pharmaciens, en particulier ceux qui travaillent dans les quarts de nuit dans des zones à haut risque: «La menace croissante pour les pharmaciens dans les zones sujettes aux conflits ne peut être ignorée. Les autorités doivent immédiatement améliorer les mesures de protection dans la région du haut de l’Est.»
La Société a exercé des condoléances à la femme de Zibrim, à quatre enfants et à des parents âgés, promettant un soutien total tout en produisant d’honorer son héritage de «paix et de professionnalisme dans l’adversité».