JOHANNESBOURG – La police étudie des mesures pour répondre aux allégations de harcèlement des automobilistes par les associations de taxis sur les routes du pays.
Ces dernières semaines, des vidéos circulant sur les réseaux sociaux ont montré des courses-poursuites à grande vitesse entre des voitures particulières et des véhicules apparemment liés à des associations de taxis.
Selon certains automobilistes, après avoir récupéré des auto-stoppeurs, ceux-ci sont souvent suivis, harcelés et, dans certains cas, forcés de quitter la route.
S’exprimant sur 702 mercredi matin, la commissaire de la police nationale, Fannie Masemola, a reconnu le problème.
« Nous savons que les associations ont des voitures qu’elles appellent patrouilleurs, mais ces voitures ne fonctionnent que sur les taxis appartenant aux associations, elles n’ont pas le droit d’arrêter quiconque sur la voie publique. Elles peuvent arrêter leurs propres taxis, c’est très bien. «