Kofi Amoa-Abban rejette les revendications des médias dans le litige terrestre de Prampram

Maria

Land Issues

Problèmes terrestres

L’homme d’affaires Kofi Amoa-Abban a publiquement nié la participation aux activités en cours sur un complot contesté de 28 acres à Prampram, à la suite de rapports médiatiques alléguant le rôle de son entreprise dans le différend.

Dans une déclaration officielle, Amoa-Abban a rejeté les titres récents comme «trompeuses» et «diffamatoires», affirmant que ni lui ni sa firme, Kofi Abban Holdings, n’ont violé une injonction du tribunal interdisant à un développement direct sur le terrain.

L’injonction, délivrée par un tribunal non divulgué, n’autorise que les tiers bénéficiaires de Kofi Abban Holdings et de la demandeuse rivale Titanium 123 des propriétés à opérer sur le site. Amoa-Abban a souligné que les activités actuelles sont menées indépendamment par ces entités autorisées, soulignant que ni son entreprise ni ses propriétés en Titane 123 ne bénéficient d’un pouvoir légal d’intervenir. Il a demandé pourquoi le directeur de Titanium 123, Nii Kpakpo Abbosey, l’avait distingué dans des accusations publiques tandis que les bénéficiaires affiliés de la même manière restent actifs.

Amoa-Abban a en outre critiqué les médias pour avoir publié ce qu’il a appelé les récits «non vérifiés» et «sensationnalisés», faisant valoir que le cadrage du différend comme un affrontement personnel entre lui et Abbosey dénalent la réalité juridique. Il a souligné que la loi sur les tiers de manière autonome, aucune des deux entités n’a permis d’influencer leurs opérations en vertu de l’injonction.

Le communiqué a également abordé des allégations criminelles en cours contre Abbosey, notant que les autorités ghanéennes le recherchent pour avoir prétendument fourni des armes illégales aux gardes fonciers, une accusation d’amoa-abban décrite comme une menace pour la sécurité publique. Abbosey n’a pas répondu publiquement à ces affirmations.

Amoa-Abban a exigé des rétractions et des excuses publiques de maisons médiatiques impliquées dans les 24 heures, menaçant une action en justice pour sauvegarder sa réputation et sa société.

Les différends fonciers au Ghana, en particulier impliquant des intérêts commerciaux, dégénèrent fréquemment en batailles juridiques prolongées, les injonctions servant souvent de mesures intermédiaires. Les analystes notent que les engagements tiers dans de tels cas peuvent compliquer la responsabilité, car les bénéficiaires fonctionnent indépendamment malgré les liens avec les principaux demandeurs. Le rôle des médias dans la déclaration de ces conflits reste controversé, avec des appels à une diligence raisonnable accrue pour éviter les tensions enflammées ou la diffusion de réclamations non vérifiées.

Le service de police du Ghana n’a pas encore commenté le statut de son enquête sur Abbosey. Les experts juridiques anticipent des procédures judiciaires supplémentaires pour clarifier les responsabilités et les violations potentielles de l’injonction.

S’il vous plaît déclaration complète ci-dessous

Déclaration de réplique par Kofi Amoa – Abban
Tema, Ghana – 14 avril 2025

Cette déclaration est publiée en réponse aux récentes publications des médias, notamment des titres tels que «Fight plus de 22 acres de terrain @ Prampram – Kofi Abban` `Willyness  » exposés», «Titanium 123 Properties Fight Kofi Abban Holdings & d’autres sur terre», et «La loi est en train de se moquer de la lumière du jour», qui a fait l’association de moi et de Kofi Abban avec les développements en cours.

Pour clarifier:

1. Aucune implication dans les activités sur place

Une injonction du tribunal empêche à la fois les propriétés Titanium 123 et Kofi Abban Holdings d’effectuer toute activité sur le terrain. Cependant, l’injonction permet expressément aux tiers-parties des deux parties à travailler sur place. Par conséquent, toutes les activités actuelles sont menées par ces bénéficiaires et non par Kofi Abban Holdings. Il est donc surprenant que M. Nii Kpakpo Abbosey m’accuse de ces actions. Pourquoi suppose-t-il que ses bénéficiaires peuvent opérer sur le terrain alors que le nôtre ne peut pas? De plus, est-il lui-même un tiers pour faire de telles publications? Ne réalise-t-il pas qu’il s’incrimine lui-même?

2. Dispute indépendant de tiers

Ces tiers agissent à leur propre capacité juridique, distinct de Kofi Abban Holdings ou de M. Abbosey. Il est donc trompeur et irresponsable pour tout média de cadrer la question comme un conflit direct entre moi et M. Abbosey, alors qu’en fait aucun de nous n’est légalement autorisé à intervenir.

3. Faux récits et manque de vérification

Il est décevant que certains médias, dont certains n’ont pas vérifié les faits même de base ont choisi de publier des histoires sensationnelles et diffamatoires. Ce type de reporting rend un mauvais service au public et sape la confiance dans nos institutions.

4. ALLÉLOGATIONS CRIMINES AVANT M. NII KPAKPO ABBOSEY

Il faut noter que M. Nii Kpakpo Abbosey, la source de plusieurs de ces affirmations, est actuellement recherché par la police du Ghana pour avoir prétendument armé des gardes fonciers avec des armes illégales, un acte qui constitue une menace sérieuse pour la sécurité publique et l’ordre. Il est encouragé à faire face à la loi et à répondre à ces allégations criminelles plutôt qu’à distraire le public avec des mensonges.

À la lumière de ce qui précède, j’exige que toutes les maisons des médias responsables de ces publications trompeuses rétractent immédiatement leurs histoires et présentent des excuses publiques complètes dans les 24 heures. À défaut, une action en justice sera prise sans hésitation à protéger à la fois mon nom et la réputation de Kofi Abban Holdings.

Cette réplique est émise dans l’intérêt de la vérité, de la responsabilité et de l’état de droit.

Sincèrement,
Kofi amoa-abban