Couteaux pour Musarara, alors que le factionalisme Zanu PF explose à Mashonaland Central

Maria

Knives out for Musarara, as Zanu PF factionalism explodes in Mashonaland Central


Des couteaux ont été attirés contre le membre supérieur du Zanu PF, Tafadzwa Musarara, qui fait face à une éventuelle suspension dans ce que les sources disent une résurgence de combats de factions dans le foyer politique de la province centrale du Mashonaland.

Zanu PF Mashonaland Comité exécutif provincial central (PEC) serait à l’origine de l’intrigue pour effacer Musarara.

Newzimbabwe.com est en possession d’une lettre adressée à Musarara, une présidente du district de Zanu PF dans la province, exigeant qu’il se prévalait d’une audience disciplinaire au siège provincial du parti à Bindura.

Il est accusé de quitter les réunions avant leur conclusion et de non-superviser la restructuration cellulaire.

«Parfois et lorsque vous parvenez à assister aux réunions provinciales, vous vous asseyez brièvement et vous vous faufilez rapidement sans en informer personne, même le président provincial», lit la lettre signée par le président du comité disciplinaire Christopher Magomo.

Newzimbabwe.com est également en possession de la réponse de Musarara dans laquelle il exige de la clarté des accusations et des preuves de son départ.

Musarara n’a pas pu confirmer la réception de la lettre qui lui a été remise le 21 mai de cette année.

Des sources au sein de la province ont révélé que les accusations sont bien travaillées, à la suite d’informations à confirmer encore à confirmer que le président Emmerson Mnangagwa pourrait envisager de démissionner conformément aux dicts constitutionnels.

Si Mnangagwa décide de ne pas aller de l’avant avec les plans pour rester en fonction au-delà de 2028, les structures provinciales et de district au sein de la fête devront se préparer et participer aux élections primaires.

Le ministre des Affaires intérieures, Kazembe Kazembe, un rival permanent et perpétuel de Musarara serait à l’origine des accusations pour tenter de le faire participer aux primaires, qui seraient fixés pour l’année prochaine.

Kazembe, qui aurait ordonné aux détails de la police de suivre Musarara, n’a pas répondu dimanche à son téléphone portable.

« La plupart des personnes au sein du camp de Kazembe où se déroulent dans l’agenda de 2030 et ne faisant rien dans leurs quartiers ou ses circonscriptions, mais maintenant que nous entendons que le président pourrait décider contre cela, la question consiste désormais à rejeter la concurrence par tous les moyens possible », a déclaré une source du Zanu PF Mashonaland Central Pec.